Antiquités La Croix au Coq, brocanteur, estimation, achat d’antiquités et d’objets de décoration, débarras
Estimation gratuite d’antiquités, d’objets anciens et de décoration anciens
Ce qui fait le prix d’une antiquité est avant tout sa demande, sa rareté et son état. Une signature désigne un fabricant, encore faut-il la décrypter, avec de l’expérience on peut le savoir quand on pratique le métier de brocanteur depuis des années. Quand l’objet en question n’est pas signé, reconnaître un fabricant demande du métier. L’authenticité d’un objet se mesure à des critères tels ; la méthode de fabrication, les matériaux utilisés, des traces diverses et autres indices qui permettent de juger de l’authenticité de l’objet.
Achat comptant au meilleur prix d’antiquités
Nous sommes prêts à acheter une antiquité à un bon prix. Nous devons répondre à la demande de notre clientèle de collectionneurs, d’amateurs visés et de professionnels, lorsque qu’un objet ancien est recherché nous savons y mettre le prix.
Achat de succession, de partage
Lors d’un partage, avoir un avis extérieur d’un brocanteur–antiquaire qui estime sans affecte la valeur d’objets que l’on a côtoyés durant des années permet d’éviter des écarts d’estimation et facilite un partage. Nous sommes régulièrement appelés à cette occasion et nous savons agir avec discrétion et doigté.
Brocanteur- antiquaire
Être Brocanteur–Antiquaire ne se fait pas par hasard, c’est un choix. Durant des années, après avoir collectionné et accumulé des antiquités et des objets de décoration anciens de toutes sortes on acquiert de telles connaissances qu’on en devient professionnel. C’est un métier que l’on exerce par goût. Les objets modernes ne possèdent pas encore cette patine et cette authenticité qui nous plaisent.
Antiquaire ou brocanteur
Chez un antiquaire on a globalement des objets antérieurs au 20è siècles à un prix élevé. Chez un brocanteur le plus souvent ce sont des objets anciens du 19è et du 20è et le choix est plus vaste, on trouve à la fois des objets de décoration et usuels. Mais est-ce qu’une antiquité appartient plus à une catégorie plus qu’à une autre si celle-ci plaît à un éventuel preneur ?